logo artway- Du 16 au 18 mars 2018, dans le cadre du 13ème festival de la francophonie de Chypre, Mathieu Devavry et 3 autres artistes sont invités par l'Ambassade du Liban à Nicosie (Chypre) pour une exposition pluridisciplinaire. Michèle Ansermet Papadopoulos, Adi Atassi, Mathieu Devavry et Elias Zaarour présenteront des oeuvres sur le thème de la Phénicie en Méditerranée, rendant hommage à la Phénicie, trait d'union entre l'Orient et l'Occident pendant 2000 ans grâce à ses navigateurs. Une performance artistique sera réalisée pendant le vernissage le 16 mars.
- Du 15 au 22 juin 2018, exposition de photographies de Diego Quagliotti à Paris.
- En novembre 2018, exposition collective d'artistes d'Art Way à Paris.
Des informations complémentaires seront mises en ligne prochainement....

Des collines et des corpsMathieu Devavry, en résidence d'artistes à Chypre, a récemment dévoilé ses dernières toiles. ART WAY les présente ici en exclusivité. Partageant son temps depuis 2014 entre la France et Nicosie, Mathieu Devavry surprend par son hyper activité artistique et la qualité de ses créations. Performances, expositions traditionnelles, installations, interventions dans l'espace public, projets pluridisciplinaires, il ne cesse d'étonner ses pairs et les professionnels du monde de l'art. Il participe ainsi régulièrement à de nombreux événements artistiques chypriotes, notamment avec l'Institut français de Chypre. Une exposition lui sera consacrée à Nicosie et à Paris en 2018, ainsi qu'une à Paris en 2019. Découvrez le travail de Mathieu Devavry en cliquant ici

Eclairer le Monde, une oeuvre de Marc ASH (2011)"Eclairer le Monde" : inscrite dans le programme des Journées Européennes du Patrimoine 2016 (17/18 septembre), l'installation de Marc Ash a immédiatement séduit le propriétaire du Pavillon Henri IV de Saint-Germain en Lay, Charles-Eric Hoffmann: une façon symbolique de concilier "Patrimoine et citoyenneté", thème de cette 33ème édition. Quel plus bel écrin que cette ancienne demeure royale transformée au XIXème en un prestigieux hôtel 4 étoiles? C'est dans l'oratoire où naquit le roi Louis XIV et classé monument historique, que l'installation a pris place. Lors d'un voyage en avion, l'idée s'impose au plasticien comme une révélation. Tandis que l'hôtesse lui remet une pile de journaux, par le hublot, un rayon de soleil éclaire la Une du Monde. Il réalise qu'il survole peut-être au même moment des pays où la parole est bâillonnée. Son oeuvre? 10 000 journaux compressés, ficelés en piles et mis en lumière. Son message? "L'information doit pouvoir circuler librement partout dans le monde afin que les continents perdus, les âmes abandonnées puissent, elles aussi, sortir de l'ombre". Si "Eclairer le Monde" est une invitation à réfléchir sur la liberté de penser, il faut aussi y voir un hommage à la presse papier qui connaît une crise sans pareille depuis l'émergence d'internet et des réseaux sociaux.    Florence Batisse-Pichet.
Exposition "Eclairer le Monde" du 15 septembre au 15 novembre 2016 au Pavillon Henri IV, 19 rue Thiers, 78100 Saint-Germain-en-Laye. Pour en savoir plus sur cette exposition, cliquer ici
Marc Ash est représenté par ART WAY
Pour en savoir plus sur les oeuvres de Marc Ash, cliquer ici

 

FO2 à Dakar avec ART WAYL'artiste Fo2, représenté par ART WAY, a participé à la Biennale Off de Dakar 2016 qui s'est terminée fin mai. Au cœur de la Biennale, un groupe d'artistes,citoyens du monde, vient offrir un éventail d'interventions : musique, danse, peinture, vidéo... Des actions dans l'immédiateté, des propos inventés visant la beauté des choses. Ferment de cette rencontre, Zulu M'baye nous amène à considérer l'art comme fondement de l'âme humaine, l'art comme gratuit, essentiel et partagé par le monde des Hommes. Pour en savoir plus sur Fo2 cliquez ici

coccoluto fil de fer r11 detail2bdL’artiste Salvatore Coccoluto poursuit depuis de nombreuses années sa réflexion sur « La matière du temps ». A mi-chemin entre l’œuvre peinte et le bas-relief, la toile est l’empreinte laissée par la performance imaginaire de l’artiste face à la matière. « Des petits formats aux plus imposants, son travail amène à penser le geste comme élément fondateur de sa création plastique et nous invite à comprendre ou, du moins, à discerner, les étapes successives de peintrification, de la couche canevas jusqu’à l’empâtement et le volume final. Le mouvement dans cette dernière couche souligne et transforme l’ensemble en une danse de matière dont le résultat éloigne l’œuvre de toute théorie commune à l’abstraction », écrit Jérémy Gadras, historien d’art.
Originaire de Gaeta, petite ville au nord de Naples où les terres imposent leurs puissances et leurs hétérogénéités, l’artiste puisse dans ses souvenirs personnels l’essence même de sa réflexion. Chaque œuvre se présente comme un voyage imaginaire qui nous conduit vers les sentiers des mille terres qu’offrent mille paysages encore vierges de civilisation : « une terre quasi lunaire, minimaliste où les paysages sont réduits à l’essentiel ». Un lien méditatif, presque métaphysique, unissant ainsi l’homme, le temps et la matière.
« Toiles telluriennes, peintures-stratigraphiques ou encore archéologie-picturale, les productions de Salvatore Coccoluto subliment la nature, lui rendent ses forces, son ampleur. Un art informel dans l’épuration ou la disparition de formes reconnaissables, mais référentielles, car figuratives dans l’abstraction, toujours au profit de la matière et de la gestualité, où chaque œuvre est un synchrone d’une terre, d’une mémoire, d’un Temps. » conclut Jérémy Gadras.
Pour en savoir plus sur Salvatore Coccoluto et pour découvrir ses oeuvres, cliquez ici